✨ Ma première décision ordonnant un processus de coordination parentale ✨

Il y a un mois, je partageais avec vous une première dans ma pratique : pour la première fois, je demandais au Juge aux Affaires Familiales, dans un dossier marqué par un conflit parental intense et durable, d’instaurer une coordination parentale. Les conséquences de ce conflit sur les enfants – sur leur santé physique, psychologique et affective – étaient telles que la médiation familiale, déjà ordonnée, n’avait pas suffi à apaiser les tensions.

Aujourd’hui, je suis ravie de vous annoncer que le magistrat a suivi ma demande. Cette décision marque une avancée significative : elle reconnaît la valeur de ce dispositif innovant et encore méconnu, qui offre une alternative précieuse pour limiter les effets destructeurs des conflits parentaux sur les enfants.

C’est un premier pas vers une évolution dans la gestion des conflits familiaux sévères et persistants. Je me réjouis de voir que les magistrats s’emparent progressivement de ces nouveaux outils, permettant aux familles en crise de trouver des solutions rapides, efficaces et durables, dans l’intérêt des enfants comme des parents.

Ensemble, avocats et magistrats, nous pouvons accompagner ces familles vers des solutions constructives, évitant ainsi l’escalade des contentieux et la dégradation de leur situation.

Un grand merci à tous ceux qui œuvrent, comme moi, pour une justice familiale plus humaine et adaptée aux réalités des conflits modernes.

"Et vous, avez-vous déjà été confronté à des situations où la coordination parentale aurait pu faire la différence ?"

Je suis Emmanuelle GLIKSON Avocate, formée à tous les modes amiables dont la médiation, coordinatrice parentale et coache coparentale, ma volonté est d'accompagner les familles pour permettre une séparation plus apaisée, constructive et pérenne.